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CHRISTINE MULLER PEINTRE
En permanence dans mes galeries en France et à l'étranger
La lumière peu à peu se retire, comme le ferait une vague ayant tout submergé.
La toile vient de se libérer. Elle est une résistante et ne m'appartient plus.
Le moment est venu d'être celle qui regarde,
Qui peut être étonnée, nostalgique ou perplexe, émue de temps en temps.
Ils sont quelques frissons à m'être nécessaires.
Ce sont eux qui rassurent, me font me redresser.
Me libèrent à mon tour, me laissant repartir vers d'autres déferlantes.
Mais il est un frisson plus secret celui-là, sauvage et envoûtant
Qui me vient de l'enfance et toujours me bouleverse.
Celui qui me murmure de ne pas oublier ce que petite,
Je trouvais beau...
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